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[...] "Dans la fosse, Sesto Quatrini impulse à l'Orchestre national du Capitole une énergie communicative qui, sans jamais diminuer, évolue avec attention au fur et à mesure des ambiances relatées. Cette lecture nerveuse permet en outre de mettre en valeur la richesse théâtrale des péripéties et de l'intrigue, faisant du chanteur un personnage avant tout. Le chœur de l'institution donne à entendre un son commun sain et puissant dont on apprécie la palette expressive. Très impliqué dans la mise en scène, il fait montre d'une réactivité scénique enthousiasmante".

(Emmanuel Andrieu - Opera Online) [...]" Le chef italien Sesto Quatrini – grand habitué du festival de Martina Franca où nous l’avons entendu à deux reprises – souscrit visiblement aux idées de la mise en scène : sa direction élégante et raffinée souligne aisément toutes les qualités d’un spectacle qui, décidément, sait allier avec intelligence et pertinence, rire, poésie et mélancolie".

(Arnard Saura - Ziegelmeyer - BachTrack) [...]" Le Chœur du Capitole reste en revanche toujours bien réglé, sous la direction de Sesto Quatrini qui n’aura de cesse d’assouplir et d’adoucir sa gestuelle, oscillant entre baguette de la main droite et doigté léger de la main gauche." [...]

(Michel Grialou - Culture 31) [...]" Sesto Quatrini fouette les troupes. Et tout le monde suit, Chœurscompris. Plateau et fosse vont de concert, à l’extrême limite parfois mais la ligne n’est jamais franchie. Au Continuo, Bob Gonnella, n’est pas le dernier. C’est bien un Elisir d’amore jusqu’à l’ivresse. L’ivresse d’ailleurs procurée par cette bouteille de Bordeaux qui va modifier le cours du destin".

(Classique News) [...]" L’Orchestre du Capitole est merveilleux, avec des solos de toute beauté. La direction de Sesto Quatrini est efficace ; elle équilibre parfaitement le comique et le presque drame. Cela avance avec naturel, les équilibres sont favorables aux chanteurs, tout est agréablement mis en valeur. Car cette partition contient de vrais grands moments d’opéra tout en ménageant un comique délicat." [...]

[...]" La direction de l’orchestre était confiée à Sesto Quatrini. Une nouvelle fois l’orchestre se pli à toutes les demandes du chef avec un très beau legato des cordes. Les vents et bien sur les bois étaient particulièrement bien mis en valeur ce soir. Notamment la flûte et bien sur le basson qui a magnifiquement introduit l’air de Nemorino. Les chœurs restent toujours à ce niveau d’excellence et de précision que se soit dans le rythme ou la diction que l’on ne peu que louer notre phalange toulousaine. Leur implication sur scène est également toujours aussi cohérente et intéressante." [...]

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